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Filmteam am Brandenburger Tor Berlin 6860
Berlin

"berlin stadt des cinema"

http://fr.wikipedia.org/wiki/Studios_de_Babelsberg

Les studios de Babelsberg ont été fondés en 1911, dans la banlieue de Berlin à Potsdam (dans la localité homonyme). Ils deviennent rapidement un des centres mondiaux de la production cinématographique tant par le nombre de films tournés que par la qualité des réalisations. Mais la période nazie sonne le glas de la créativité des studios. Après une longue période d'assoupissement pendant la période est-allemande, les studios Babelsberg ont retrouvé un rayonnement international.
C'est en 1911 que Guido Seeb fait construire un grand studio dans une ancienne usine de fleurs artificielles1, à Neubabelsberg au sud-ouest de Berlin sur un terrain de 47 hectares2. Les studios de Babelsberg sont parmi les premiers studios cinématographiques construits en Europe. Le premier film tourné est Der Tontentanz avec l'actrice danoise Asta Nielsen qui devient la première star des studios3. Les premiers films sont tournés en lumière naturelle, dans une sorte de serre. Mais très vite la lumière artificielle est adoptée. Elle convient à merveille au cinéma expressionniste naissant. Paul Wegener y tourne Le Golem en 1920, Murnau Nosferatu le Vampire en 1922. Fritz Lang obtient pour le tournage de son film Metropolis la construction d'un immense plateau de 2 200 m². Ce plateau est toujours le plus grand d'Europe1.
Asta Nielsen, la première star des studios de Babelsberg
Dans les années 1920, les studios sont parfois considérés comme le rival européen d'Hollywood. À partir de 1922, ils appartiennent à l'UFA qui rénove les studios à l'arrivée du cinéma parlant. L'architecte Otto Kohtz construit à l'intérieur de chaque bâtiment, un second bâtiment de manière à obtenir une isolation sonore parfaite1. La qualité acoustique des studios de Babelsberg est encore appréciée aujourd'hui. Dans les années trente, ceux-ci sont à la pointe de l’innovation dans les domaines de la technique cinématographique, du son et du montage. Des films prestigieux y sont tournés: L’Ange bleu de Josef von Sternberg en 1930... De grands succès français y ont été tournés : Gueule d'amour de Jean Grémillon avec Jean Gabin et L'Étrange Monsieur Victor du même réalisateur avec Raimu.
Des studios sous influences
À l’arrivée des nazis, un grand nombre d’artistes comme Billy Wilder ou Fritz Lang partent aux États-Unis. Goebbels prend personnellement la direction du studio. Il fonde une école de réalisation, la Deutsche Filmakademie Babelsberg, afin de former des réalisateurs répondant à l'idéal national-socialiste. Tous les membres de l'industrie cinématographique doivent adhérer à un syndicat unique : le Reichsfilmkammer. Une récompense imitée sur le principe des oscars est créée : le Deutscher Filmpreis. Quelques films de propagande y sont tournés ainsi qu'un grand nombre de films pour la plupart sans intérêt mais destinés à distraire le public allemand2. Le Juif Süss de Veit Harlan reste un exemple tristement célèbre du film de propagande antisémite. Pendant la guerre, les studios continuent de tourner, même quand Berlin est bombardé et à moitié détruit.
Après 1945, les studios passent sous orbite communiste. La DEFA (Deutsche Film AG) remplace UFA. De nouveaux noms apparaissent : Wolfgang Staudte, Kurt Maetzig, Slatan Dudow. Le film antifasciste est alors un genre en vogue3. Le plus connu est Les assassins sont parmi nous de Wolfgang Staudte. Les studios sont étroitement surveillés par le parti communiste et la liberté de création est limitée. En 1965, tous les films produits sont interdits par le parti3. Cependant, les studios continuent à attirer des productions internationales : des films en costume ou pour enfants principalement1. Certaines productions françaises de prestige y sont réalisées, comme Les Aventures de Till l'espiègle de Gérard Philipe et Joris Ivens avec Gérard Philipe (1956), Les Sorcières de Salem de Raymond Rouleau avec Yves Montand (1957), Les Misérables de Jean-Paul Le Chanois avec Jean Gabin (1958).
Après la réunification allemande en 1990, les studios de Babelsberg entrent dans une période difficile. L'État ne leur commande plus de films. Ils n'arrivent pas à attirer les producteurs occidentaux. Le nombre de personnes employées dans les studios chute alors de 2 400 à 792 en 19924.
La renaissance des studios de Babelsberg
Le parc des studios de Babelsberg
En 1992, la Compagnie générale des eaux achète les studios de Babelsberg. Au même moment, une des deux télévisions régionales du nouveau Land s'y installe. De plus, les visites touristiques des mythiques studios rencontrent un franc et inattendu succès, et occupent à elles seules 120 personnes4. En 1993, un énorme projet propose de transformer les studios en « parc média » sous la direction d'Euromedien, co-entreprise de la générale des eaux et de la CIP. Babelsberg est alors divisé en différentes structures. Les lieux de tournage emploient 260 personnes. Euromedien multiplie les mesures incitatives pour attirer les maisons de production et de post-production. Le succès est au rendez-vous ; aujourd'hui, 100 sociétés employant environ 2 000 personnes sont installées à Babelsberg. Beaucoup de télévisions privées ou publiques sont aussi présentes. 70 % des productions leur sont destinées4. Cependant, des superproductions internationales sont produites, comme Stalingrad de Jean-Jacques Annaud ou Le Pianiste de Roman Polanski3. Babelsberg bénéficie de tarifs 10 % moins chers que ceux d'Hollywood. De plus, l'État fédéral alloue des subventions aux productions tournées en Allemagne. Le décor naturel que propose la ville de Berlin est aussi très prisé des réalisateurs5.

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Copyright: Dieter Kik
Type: Spherical
Resolution: 8374x4187
Taken: 10/08/2010
Chargée: 03/08/2011
Published: 03/08/2011
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Tags: history; building; film
More About Berlin

Overview and History Okay, where did it all start? Berlin is the capital city of Germany, with a population of around 3.5 million people.Since the thirteenth century Berlin has served as the capital of the Kingdom of Prussia, the German Empire, the Weimar Republic and the Third Reich. (Thank you wikipedia)During World War Two Berlin was heavily bombed, and at the end of the war the city was divided into East Berlin, controlled by Russia, and West Berlin which was controlled by the Allied forces (U.S., France, Britain).Cold War tensions led to the construction of the Berlin Wall in 1961, and its symbolic destruction in 1989 heralded the reunification of Germany and the opening to a new renaissance in the city.Getting ThereWell I'm glad you asked. Here's some info on the three available airports servicing Berlin.The airport is connected with busses to get to the metro system .Being that Berlin sports the largest train station in Europe, let's have a look! Here's the main station Hauptbahnhof for lunch, buying new sneakers or international rail service!TransportationThe metro in Berlin is like when Homer Simpson wakes up in the middle of the night and says,"Yes honey I'd love some pork chops right now." Except you actually get the pork chops.There's basically a ring of metro lines making a loop around the city, with spokes going into and out of the center from the perimeter. It is fast, easy to understand on your first visit, clean and cheap.A story here will illustrate nicely. Erin lost her passport. Nevermind who Erin is. As we were on our way to the airport, with the clock ticking down from forty-five minutes until departure, I casually asked,"Hey, you have your passport right?" I don't know, it just popped into my head to say that.Two seconds later we were on a metro platform tearing open both of our luggage bags cursing, and not finding any passport. And she still had that whole box of plates for her cousin's wedding present to pick up from a locker in the train station, lord help us all! Pass the ammunition. I recoiled from visions of deadly disaster.We came up with a plan where she'd keep going to the airport and searching her purse again on the way, and I'd take a train back the opposite direction and look for the passport in the flat where we'd couchsurfed.So we both rode around on trains for an hour, sweating and texting like mad fiends, and in the end I found it on the floor of our friend's flat. It was stashed for some ungodly reason inside an empty cardboard contact lens box all by itself in the stark middle of the floor. I made it back to the airport in time to hand it to her in line at the customs counter.Miraculous! We jumped for joy and cried hot and salty tears of thanks to the Berlin Metro. What's it called again? U-bahn. So nice. If I was a baby train I would want to be born in Berlin.Click here if you just need somewhere to click for fulfillment, or if you want to print out the Berlin metro map for your bathroom wall, home altar to the gods, target practice etc.People and CultureBerlin! Berlin! Berlin! Go there right now, and if you're under forty you will consider not leaving. There are all kinds of people here and great late night food options.Outside the train stations there are bike racks filled up with dozens of bikes, a thicket of bikes, like a breeding ground of bikes waiting to be plucked ripe and ridden on Berlin's flat smooth paths. I mean they are serious about biking here, you will be fined 100 EUR for riding at night without lights, there's even a white stripe down the no-pedestrians bike lane.. it's no joke! Here's more on Berlin biking.I wasn't there for very long but it did seem that a lot of people were speaking German... okay seriously Berlin is a tech-ish city with a weird economy right now. It's cheap to live there but hard to find a job, especially for non-EU people.These are the rumors: Everybody's an artist, the techno will mash your head into pixels seven nights a week, moving to Berlin is the 1920's Paris of the new millenium, etc. I don't know. Go see for yourself and let me know what happened later.For local info on events and "stuff that doesn't suck", grab an issue of Provokator, a Berlin-Prague magazine on venues and all things of interest which occur in them.Things to do & RecommendationsFirst of all, run and don't walk to Tresor for hard techno inside a hard building with bass cabinets that will punch your friggin' chest cavity out. Tresor is a legendary record label now with a re-opened club to represent their artists and sound. bla bla bla just go there and put up the pics on facebook.Tacheles is recommendation #2 for you. Overtake an abandoned shopping mall building in a previous war zone, renovate it into artists' studios and fill up the courtyard with junk sculpture and you can have your very own Tachales. Please forgive this micro-condensed bat-brained attempt at describing something so loving, cool, open, amazing, awesome and resurrecting of the spirit of Art. Not Art. Art that explodes "Art". ok?Number Three, take a bike tour with Fat Tire Bikes. It's worth it for the history alone, and the route and views add grit to the gravy. What does that mean? It means Berlin has a dark vibe overall, it's a very heavy place for anyone with psychic sensitivity and when you visit you will see for yourself. 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